Ces forêts de plaine qui, selon le PNUE, ''forment le plus grand bloc de forêt tropicale humide relativement intacte en Afrique occidentale'', abritent plus d'un quart des mammifères d'Afrique, dont 12 espèces de primates, d'importantes populations de chimpanzés et des espèces rares telles que les hippopotames nains et les éléphants de forêt. ''Aujourd'hui, ces précieuses forêts offrent une occasion unique de transformation pour la conservation de la biodiversité et la consolidation de la paix'', a souligné le PNUE.
La réunion a rassemblé des représentants de divers groupes d'intervenants des deux pays, notamment des hauts fonctionnaires du ministère de l'environnement et des forêts, les principaux bailleurs de fonds internationaux, agences de développement, secteur privé et les institutions de recherche, les populations autochtones et locales, les ONG nationales et internationales.