Ce retour de l'Italie au nucléaire était inscrit dans le programme électoral de Silvio Berlusconi et confirmé par le vote d'une loi le 9 juillet dernier, rappelle le CEA dans un communiqué.
Cet accord de coopération couvre les domaines de l'énergie nucléaire, en particuliers le développement des technologies pour les réacteurs de quatrième génération mais aussi les énergies renouvelables, ou encore les nanotechnologies et les biotechnologies pour la production d'énergie, la modélisation, la simulation et le calcul haute performance.
Le gouvernement italien a pour objectif d'atteindre d'ici 2030 un mix énergétique composé de 25% de nucléaire, 25% d'énergies renouvelables et de 50% de combustibles fossiles. La France, dans le même temps, devra renouveler son parc de réacteurs qui représente actuellement 80% de l'électricité produite et accroître la part des énergies renouvelables, souligne le CEA.
Article publié le 23 juillet 2009