Dans cette déclaration commune, les organisations signataires demandent la mise en place de plans de gestion à long terme fondés sur le double principe du non-dépassement des capacités de renouvellement des stocks et de la conservation du milieu marin, voire de sa restauration, précise la fédération.
En dépit de divergences notamment sur le moratoire sur la pêche au thon rouge, ces plans devraient prévoir un partenariat entre pêcheurs et scientifiques pour le renforcement des connaissances et le suivi de la situation; la préservation de la biodiversité et des écosystèmes associés aux pêcheries; l'encouragement des circuits courts et la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et le renforcement de la qualité sanitaire des produits de la pêche.
Article publié le 12 mai 2009