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Actu-Environnement

Lancement d'une consultation citoyenne sur la stratégie nationale pour la biodiversité

Biodiversité  |    |  F. Roussel

À l'occasion de la journée internationale de la biodiversité, célébrée le 22 mai, le ministère de la Transition écologique a lancé une consultation citoyenne (1) sur la troisième stratégie française en la matière. Ouverte jusqu'au 5 juillet, cette consultation invite tous les citoyens à se prononcer sur leurs attentes et leurs propositions. Les éléments récoltés alimenteront les travaux conduits au niveau national pour élaborer cette nouvelle stratégie, qui inclura celle sur les aires protégées présentée en janvier.

Cette nouvelle consultation complète celle lancée auprès des territoires et des parties prenantes depuis plusieurs mois. Les premiers éléments de la stratégie seront présentés du 3 au 11 septembre lors du congrès mondial de la nature de l'UICN prévu à Marseille. La finalisation de la stratégie est prévue en fin d'année, après la COP 15 de la convention sur la biodiversité prévue en octobre en Chine, pour une mise en œuvre début 2022.

1. Accéder au questionnaire de la consultation
https://biodiversite.gouv.fr/3e-strategie-nationale-pour-la-biodiversite

Réactions4 réactions à cet article

Les notions d'aires protégées se font à la faucille et au marteau en négligeant les droits des propriétaires, c'est franchement relou, je pense que ça devrait faire partie d'un référendum sur le village impacté, qui devra délimiter ce qui peut se faire ou non, on ne peut pas faire confiance à un maire soumis à la pression d'associations étrangères au village (sic), au préfet, au ministre etc, le principe actuel étant de mettre le souk chez les autres, et les abus perdurer chez-soi.

pemmore | 25 mai 2021 à 11h25 Signaler un contenu inapproprié

La biodiversité à la configuration d'un iceberg : la partie invisible et 10 fois plus importantes que la partie visible !
La partie visible de la biodiversité (faunes et flores, et donc les humains) dépend à 100% de la partie invisible qui se cache dans les sols : des millions de micro-organismes qui commencent par les bactéries.
Il faut considérer les sols comme une entité vivante globale qui est à la base de toutes les chaines alimentaires, la partie visible de la biodiversité nous sert de bio-indicateur, quand les bio-indicateurs disparaissent c'est que les sols meurent !
Un sol vivant a besoin d'eau, de nourriture, d'oxygène, d'un climat tempéré et d'une protection solaire, tout ceci lui est apporté par la végétation !
Plus la densité végétale est importante plus la biodiversité est riche, la référence planétaire étant la foret de feuillus, en opposition total au désert (donc sans végétation) et donc aux villes.
La première des choses à faire pour le climat et la biodiversité c'est la végétalisation massive des surfaces exposées au soleil au rythme des forets de feuillus : donc vert l'été !
L'énergie du futur existe depuis des millions d'années et s'appelle photosynthèse : énergie du vivant !

laurent | 25 mai 2021 à 12h04 Signaler un contenu inapproprié

C'est ainsi que naissent à tout bout de champ Les Zones Spéciales de Conservation (ZSC), les Zones à Protection Spéciale (ZPS), les Sites d'Intérêt Communautaire (SIC), organisés à l'intérieur du Réseau Natura 2000, qui en s'additionnant aux Parcs et aux Réserves Naturelles, dont la majeure partie se situant en montagne.
Nous autres, acteurs ruraux ne comprenons pas pourquoi cette volonté de contrôle de la nature ne se tourne pas vers les zones de plaine gravement compromises par les activités humaines spéculatives, aussi bien industrielles qu'immobilières, alors qu'on assiste encore aujourd'hui à la prolifération de zones constructibles, de nouvelles aires artisanales, avec une bétonisation continuelle et injustifiée du territoire !
Ces contraintes de protections sur des zones marginales fondamentalement en bonne santé écologique, privent la communauté locale (Administrations communales et simples propriétaires terriens) de leur pouvoir effectif de gestion. Sans en être informés, et encore moins être impliqués dans les processus de décisions, les gens de la montagne se retrouvent à vivre dans un Parc, dans le quel le rôle qui leur est attribué est celui de spectateur ou de figurant (du genre "indien avec les plumes")!

ouragan | 25 mai 2021 à 17h24 Signaler un contenu inapproprié

Le 22 avril 2021, la CPEPESC adressait à Madame Barbara POMPILI, Ministre de la Transition écologique et solidaire le courrier repris ci-dessous en recommandé postal. Celui-ci a été reçu le 27 avril 2021. Pas de réponse à ce jour. L’association en recevra t-elle une ?

Madame la Ministre,

Notre association COMMISSION DE PROTECTION DES EAUX DE FRANCHE-COMTE se bat depuis plus de 45 ans pour la protection de l’eau et de l’environnement. Aussi, permettez-moi de vous faire part de mon plus grand étonnement en apprenant que votre ministère venait de faire appel le 19 mars dernier d’un jugement rendu un an plus tôt par le tribunal administratif de Besançon portant sur un dossier de drainage agricole effectué sans formalité et sur une surface de 12 ha (GAEC VIVIEROCHE, commune de LA ROCHE-MOREY – Haute-Saône). (*)

J’avoue ne pas comprendre et saisir l’intérêt pour votre ministère de s’emparer de cette affaire impactant des milieux prairiaux et la ressource en eau, sujets majeurs et d’actualité, dont la CPEPESC demandait la régularisation administrative en application de la nomenclature IOTA.

Aussi, persuadé que vous serez soucieuse de ne pas entacher le bilan de votre mandat et d’agir dans l’intérêt général, je vous demande instamment de bien vouloir retirer cet appel interjeté le 19 mars dernier devant la Cour administrative d’appel de NANCY.

Espérant une réponse basée sur des valeurs écologiques durables et souvent affirmées depuis 4 ans, je vous prie d’agréer, Madame la Mini

JR CPEPESC Franche-Comté | 26 mai 2021 à 18h12 Signaler un contenu inapproprié

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